Salut Simon. J'ai décidé de partager des liens plus fréquemment. Au lieu de 21 jours de délai, ce sera 17 jours. Mais ça fait maintenant 20 jours depuis la dernière fois. Alors... on verra quand sera la prochaine. C'est confondant.
D'ici là, voici des liens sans lien entre eux. Si tu trouves un lien entre les liens, tu me raconteras ça. Je te laisse faire une blague avec le restaurant Chez Lien si tu y tiens...
Il s'agit d'un petit robot souriant en carton. Il se propulse lui-même et se dirige lentement droit devant lui. Puisqu'il ne peut pas tourner par lui-même, il compte sur l'aide d'étrangers pour le mettre sur la bonne voie. Car il a une destination bien précise, qu'il affiche sur un petit drapeau.
Déchets haute vitesse (non extrême quand même)
Après les autobus de Oslo qui rouleront au biométhane, et la Delorean du futur qui carburait aux restes de table, voici la collecte des ordures pneumatique de Barcelone.
Je ne connais pas Olivier Choinière. Il est dramaturge et metteur en scène, semblerait-il. Je ne lis que très rarement les critiques de théâtre. Mais cette lettre qu'il adresse «au critique de théâtre de Montréal» est assez intéressante. Plusieurs de ses remarques s'appliqueraient d'ailleurs tout à fait à d'autres domaines que le théâtre. Au pire, si le texte t'ennuie, tu peux le partager avec David à côté de toi. Il risque même de savoir c'est qui Olivier Choinière.
En passant, l'auteur adresse vraiment sa lettre «au critique» personnellement et non «aux critiques» globalement. Je n'ai donc pas oublié de s ni de x. Du moins, pa_ dans ce conte_te-là. Place-les au bon endroit. Pas de gaspillage.
Au plaisir. Tu peux toujours manger mon chou et mes carottes si tu veux. On se voit mercredi.
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